IDPC, HON, IDUCARE et SPINN décrivent les obstacles rencontrés dans la réalisation des droits humains, présentent des bonnes pratiques soins et de soutien et proposent des réformes.
Au-delà de la culpabilité de l'ancien président, le pays doit s'engager dans un processus de responsabilisation et de changement afin que cette tragédie ne se reproduise pas.
Le WHRIN a coordonné des actions avec des partenaires dans 18 pays pour sensibiliser et plaider contre les impacts genrés des politiques punitives en matière de drogues.
L'événement a reconnu les effets néfastes des politiques antidrogue sur les jeunes et les personnes marginalisées, et a insisté sur la nécessité de donner la priorité au soutien plutôt qu'à la punition.
L'IDPC se joint à plus de 30 organisations dans le monde entier pour demander l'arrêt de l'opération Yukthiya, appelant à la place à un accès volontaire à des soins fondés sur des preuves.
Les réponses coercitives promettent de meilleurs résultats en matière de santé alors qu'en réalité, elles poussent des milliers de personnes dans des situations de vulnérabilité et d'insécurité accrues.
L'IDPC s'appuie sur un large éventail de données provenant des Nations unies, de sources gouvernementales, universitaires et de la société civile pour conclure que les progrès accomplis dans la réalisation des objectifs fixés dans la Déclaration ministérielle de 2019 sur les drogues sont faibles, incomplets ou inexistants.
Des organismes communautaires, associatifs et professionnels dénoncent une dérive répressive dans le discours politique français et plaident pour des approches qui donnent la priorité à la santé et aux droits humains.
En favorisant un marché informel lucratif et en élargissant l'arsenal punitif de l'État, la "guerre à la drogue" renforce les régimes corrompus et autoritaires.