La Commission de l’hémisphère occidental en matière de drogues propose un changement de priorités dans les politiques des drogues, mais les critiques répondent qu’une « guerre à la drogue » axée sur la santé publique reste une « guerre à la drogue ».
Rendre la réduction des risques accessible aux prisonniers améliore les résultats en matière de santé pour les détenus, le personnel des prisons et la société dans son ensemble.
Tuari Potiki, président sortant de la Commission néozélandaise en matière de politiques des drogues aborde les discriminations auxquelles sont confrontés les Maoris en raison des lois punitives en matière de drogues en Nouvelle-Zélande.
Pour limiter les morts, l’Écosse doit abandonner ses réponses punitives inefficaces et mettre la priorité sur la réduction des risques comme élément d’un paquet de mesures visant à promouvoir la santé et le bien-être.
Les experts de la société civile ont bien accueilli ce pas dans la bonne direction, mais ont appelé à mettre un terme à toute forme de sanction à l’égard des usagers de drogues.
Alors que les États-Unis se distancent des politiques en matière de cannabis qu’ils ont aidé à universaliser, l’Inde devrait reconsidérer son interdiction d’une plante enracinée dans les traditions du pays.
L'idée fabriquée d'un « autre » monstrueux, jetable, contre lequel la société doit être protégée à tout prix est au cœur de la catastrophe de l'incarcération de masse.
Les politiques répressives en matière de drogues ont largement contribué à une augmentation exponentielle de l’emprisonnement de femmes dans le monde entier.
Les experts appellent à une action immédiate pour réduire l’incidence de la pandémie de COVID-19 sur la crise des overdoses, y compris par l’intensification des efforts en matière de réduction des risques.
Des groupes impliqués dans les politiques des drogues pressent l’administration Biden entrante à mettre la priorité sur la réduction des risques plutôt que sur la criminalisation.
À l'occasion du 10e anniversaire des règles des Nations unies à Bangkok, des dizaines d'organisations de la société civile demandent instamment au gouvernement de réduire la population carcérale féminine et les violations des droits en prison.